Lorsque la souffrance devient trop lourde, que l’incompréhension et l’angoisse se font si oppressantes qu’il devient difficile de gérer seul.
Pourquoi ne pas venir chercher de l’aide chez le psychanalyste ?
Avoir recours à un psychanalyste c’est rencontrer une écoute neutre, bienveillante, sans tabou, qui vous permettra de vous délester du malaise que vous pouvez ressentir.
Je cherche de l’aide :
quand je souffre, je me sens seul, personne ne me comprend, je suis différent.
Mais aussi pour : la gestion du stress et de l’anxiété, les angoisses, le deuil, la maladie, les troubles phobiques, les TOCS, Les troubles alimentaires, la dépression, le burn out, la stérilité, les addictions, le harcèlement scolaire, la confiance en soi, la vie de famille, les enfants, la parentalité, la vie de couple, les accidents de la vie, le mal être existentiel ou identitaire, les problèmes d’estime de soi ou d’abandon, les difficultés relationnelles
Pour démêler les noeuds, les sensations déprimantes, les répétitions, les ruminations, …..
Exprimer librement ses souffrances grâce à une écoute neutre et bienveillante permettra de faire des associations d’idées et des liens pour aller vers la compréhension de soi, aller mieux, et reprendre confiance en soi et au final dans la vie.
Le cabinet du psychanalyste doit être un endroit comme une parenthèse accordée à vous même, beaucoup d’empathie et de bienveillance à l’écoute de vos problématiques, un temps suspendu, sans jugement, sans tabou, sécurisant puisque le code de déontologie exige une discrétion absolue. La confiance est le socle nécessaire pour un travail possible.
Un problème dans l’immédiat
Un problème qui resurgit au gré des aléas de la vie
Une analyse pour aller vers soi, à sa rencontre, et après avoir remis de l’ordre dans son histoire, lorsque cela est possible, se diriger avec une confiance augmentée vers la vie…
Dans tous les cas vous êtes le maître du jeu en ce qui concerne le choix de thérapie, et son rythme.
Au final, "le recours à la psychanalyse se confond avec l'expérience humaine. Le malheur peut paraitre venir du dehors, on a cependant l'intuition d'y être pour quelque chose, qu'il faut changer pour que ça change. Sans le savoir, on vient en analyse pour changer le passé, en réécrire le récit...Parmi les risques que l'on court, il y a celui de devenir un peu plus libre qu'auparavant".
Les 100 mots de la Psychanalyse, J.André
Permet une prise de contact, le thérapeute doit vous inspirer confiance pour qu’un travail soit possible. Une écoute bienveillante
Formée à l’institut Freudien de Psychanalyse de Nîmes, cette formation rigoureuse d’un minimum de 5 années, permet après avoir effectué soi même une analyse, comme dans le cadre préconisé par Freud, et présenté un mémoire, d’obtenir un titre de Psychanalyste diplômé de cet institut.
Toutefois, le parcours du professionnel se poursuit par une formation continue ainsi que, la supervision de sa pratique par un psychanalyste plus expérimenté.
Cette formation Freudienne s’enrichit également d’apports d’autres grands psychanalystes reconnus, Klein, Bion, Winicott, Lacan, Green…
Cette spécialité de l’inconscient se doit d’être bienveillante, pour mener à bien la cure par la parole.
Je ne suis ni psychiatre, ni médecin et ne peux donc prescrire aucun médicament.
Pôle Santé Bien-Être
43 avenue de Montpellier
34470 Pérols
(pas de CB)
